DANSE
Alourdi,par autant de dérives
écouter baver l’eau sale fenêtre close et rideaux noirs
J’existe comme une limace,et les regards
danse bien comme ça,tu n’sais pas où tu vas
et les images qui passent tu ne les regardes pas
Danse, danse
Je reviens comme une âme, oh, comme tout est fini
je repars à l’étage, au grand abri
et je suis comme une ombre, genre que tu fuis
qu’elle horreur je crache, je hurle et je crie
Et l’espoir que tu m’aimes
oh, ne me demande pas
et l’espoir que tu m’aimes
On me dit à présent, l’ombre est finie
et je sais qu’aujourd’hui, tu es parti
et les mots que je mets sur ton visage
n’ont de lois, ni de raisons, oh, je nage
et les mots que des sons comme
danse
et les mots ne sont que
danse
Pensant à toutes ces heures épuisées
ma vie devient un enfer
ma tête ne marche plus qu’à coups de volonté
je voudrais fuir, mais j’espère
être trop haut imprudemment grimpée
je ne sais comment faire
mais que cette pièce est enfumée
et on n'est qu’en hiver
J’oublie pas que le vent est amusé
le fond du jour, lui, enrhumé
je suis comme, déboussolée
J’ai appris et su faire, comme je disais hier
croire et quand tout est fini, je repars
devine où ? dans le bruit
Devine où ?
Je suis debout, repense à tout
oh, oh, oh, oh belles images
du haut, et les sages
semblent te dire monte